Sur l'origine des radiations émises par le ciel nocturne dans l'intervalle spectral 5 000-8 000 Å
Ce travail fait partie d'une série de recherches sur la composition spectrale de la lumière du ciel nocturne entreprises à Lyon, à Montpellier et au Pic du Midi avec la collaboration de MM. Dufay, Garrigue et Gauzit. J'analyse ici la partie la moins réfrangible du spectre, de 5 000 à 8 000...
Main Author: | |
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Format: | Article in Journal/Newspaper |
Language: | French |
Published: |
HAL CCSD
1934
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Subjects: | |
Online Access: | https://hal.science/jpa-00233282 https://hal.science/jpa-00233282/document https://hal.science/jpa-00233282/file/ajp-jphysrad_1934_5_12_601_0.pdf https://doi.org/10.1051/jphysrad:01934005012060100 |
Summary: | Ce travail fait partie d'une série de recherches sur la composition spectrale de la lumière du ciel nocturne entreprises à Lyon, à Montpellier et au Pic du Midi avec la collaboration de MM. Dufay, Garrigue et Gauzit. J'analyse ici la partie la moins réfrangible du spectre, de 5 000 à 8 000 Å. On y trouve un spectre discontinu d'origine atmosphérique, identique à celui des aurores boréales avec prédominance des radiations 5 577 et 6 314 Å, communément appelées raies verte et rouge des aurores. En dehors de la raie 5 577 attribuée à l'atome O I, ce spectre paraît essentiellement constitué par le premier système positif de l'azote, les bandes telluriques de l'oxygène et le spectre de vibration de la molécule H2O. J'explique théoriquement les principales particularités de ce spectre. |
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