La présence sur le terrain est-elle toujours nécessaire en géoscience ?
National audience À l'heure de l'abondance en matière d'images satellite, à l'heure où nos ordinateurs voient leurs capacités décuplées tous les 18 mois, à l'heure de la transmission automatique des données et d'un développement d'une très haute technologie impensa...
Published in: | L'Information géographique |
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Format: | Article in Journal/Newspaper |
Language: | French |
Published: |
HAL CCSD
2010
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Subjects: | |
Online Access: | https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00731681 https://doi.org/10.3917/lig.741.0027 |
Summary: | National audience À l'heure de l'abondance en matière d'images satellite, à l'heure où nos ordinateurs voient leurs capacités décuplées tous les 18 mois, à l'heure de la transmission automatique des données et d'un développement d'une très haute technologie impensable il y a quelques années, est-il encore nécessaire pour un scientifique d'être présent sur le terrain ? C'est ce à quoi va tenter de répondre cet article, fondé sur une expérience personnelle longue en milieu polaire (Spitsberg). Si terrain il y a, la façon de l'aborder a forcément évolué avec les progrès techniques et la vie du scientifique en Arctique a donc changé aussi, même si le vieil adage inuit reste d'actualité : "En Arctique le temps (météo) et la glace décident." |
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