Summary: | A climate simulation over a period of 20 years performed with the atmospheric general circulation model GEM-CLIM and forced by observational sea surface temperature (SST) and sea-ice extent was examined in terms of the variability of the seasonal mean 500hPa height (Z500) in the Northern Hemisphere. The external variability of Z500 due to forcing by the SST was estimated by a separation from the total variability through an SVD analysis. The residual is defined as internally generated variability and is by construction without temporal correlation with the forced variability. The maximum skill expected in seasonal forecasting - the potential predictability - is assumed to be an increasing function of the ratio of the SST-linked variabilityto the total variability. In winter, this potential is found to be high in the tropics as well as over the region of the Pacific / North American (PNA) pattern. The mid-latitudes are influenced by SST anomalies in the tropical Pacific through teleconnections. Although using a different approach of analysis the results support findings of previous studies and even go beyond them with representing statistically significant potential predictability over East Asia in winter and spring and over the North Atlantic in spring. In addition, the potential predictability of the surface air temperature associated with the signal of Z500 is examined. On a examiné la variabilité de la moyenne saisonnière du champ des hauteurs à 500hPa (Z500) dans l'hémisphère Nord en utilisant une simulation realisée sur une periode de 20 ans avec le modèle de circulation générale pour les études climatiques GEM-CLIM, forcée par des observations de la température de la surface de la mer (TSM) et de l'étendue des glaces de mer. La variabilité externe de Z500, qui est forcée par la TSM, est évaluée en la séparant de la variabilité totale par une analyse de décomposition en valeurs singulières. La résiduelle comporte la variabilité interne qui de par la méthode d'analyse, est indépendante de celle qui est forcée. La qualité maximale des prévisions saisonnières - la prédictibilité potentielle - est une fonction croissante du ratio "variabilité forcée sur la variabilité totale". En hiver, on trouve que la prédictibilité potentielle est élevée dans les tropiques ainsi que sur la région du patron Pacifique / Amérique du Nord. Les latitudes moyennes sont influencées par les anomalies de la TSM du Pacifique tropical à cause des téléconnections. Les résultats appuient ceux qui ont été découverts par des traveaux précédents, bien qu'une méthode différente soit utilisée dans cette étude. De plus, cette étude présente des zones de prédictibilité potentielle statistiquement significative en Asie de l'Est en hiver et au printemps, aussi bien que sur l'Atlantique Nord au printemps. En outre, on a examiné la prédictibilité potentielle de la température de l'air en surface associée au signal de Z500.
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