SUPER‐ADIABATIC LAPSE RATES IN THE CANADIAN ARCTIC

RÉSUMÉ La formation de couches d'air instables de surface a lieu le plus fréquemment dans l'Arctique canadien durant les mois de juin et juillet et très rarement entre le 1er décembre et le 31 mars. Elles se limitent aux étendues océaniques et aux régions côtières. Certaines d'entre e...

Full description

Bibliographic Details
Published in:The Canadian Geographer/Le Géographe canadien
Main Author: LONGLEY, RICHMOND W.
Format: Article in Journal/Newspaper
Language:English
Published: Wiley 1962
Subjects:
Online Access:http://dx.doi.org/10.1111/j.1541-0064.1962.tb00940.x
https://api.wiley.com/onlinelibrary/tdm/v1/articles/10.1111%2Fj.1541-0064.1962.tb00940.x
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/pdf/10.1111/j.1541-0064.1962.tb00940.x
Description
Summary:RÉSUMÉ La formation de couches d'air instables de surface a lieu le plus fréquemment dans l'Arctique canadien durant les mois de juin et juillet et très rarement entre le 1er décembre et le 31 mars. Elles se limitent aux étendues océaniques et aux régions côtières. Certaines d'entre elles sont dues à la chaleur et à l'humidité que reçoit l'atmosphère au‐dessus des aires océaniques libres de glace. Durant la brève saison d'été le réchauffement des surfaces terrestres dénudées produit également des couches d'air instables. Un autre facteur contribuant à leur développement est la déviation du vent en hauteur qui pousse parfois des masses d'air frais au‐dessus de masses d'air chaud. L'envergure des variations verticales de la température que l'on observe dans certaines couches relativement peu épaisses suggère que I'instabilité persiste parce que l'épaisseur des couches inférieures est trop faible pour permettre la formation de cellules convectionnelles actives. Cette hypothèse n'a cependant pas été vérifiée.